Je profite de cette fin d’après midi pour ressortir mon cahier à dessin et gribouiller un peu. Au départ c’est plus l’acte que le dessin lui-même qui me motive. Le feutre qui gratte la feuille. Le blanc qui devient noir tout ça.
Voici donc une allégorie sur la vie qui vient s’ajouter au traditionnel « La Vie, c’est comme une boîte de chocolats… ». Si tant est que Forrest Gump soit entré dans la tradition.
Si je devais me lancer dans de la philosophie de comptoir, je dirais que ce qui ressort de ce « truc » c’est que, quel que soit le chemin, la fin est toujours au même endroit ; la durée du voyage variant éventuellement. Je dirais aussi qu’il y a toujours un moment où un choix se pose ; des voies qui paraissent différentes peuvent se rejoindre plus loin, plus tard. Ou jamais – à la fin.
Mais ce qui me marque le plus a posteriori c’est qu’il n’y a pas d’impasse ; on ne peut faire qu’avancer. Même si le chemin sent la merde.
A vot’bon cœur messieurs-dames.
Il me semble avoir déjà vu passer sur Internet quelque chose dans le genre, en mieux forcément, mais j’avais envie. A noter aussi que le scan est bien dégueux.