Quand on me parle de la peine de mort, sujet récemment remis au goût du jour entre abolition états-unienne et revival français, j’en viens toujours à penser au Dernier jour d’un condamné de Hugo et aux Idées noires de Franquin. Je me demande d’ailleurs comment mon père (coucou papa) a pu me laisser lire ce bouquin, c’est un coup à devenir dépressif. Je suis tenté de mettre un oh wait.
Bref. Que le bourreau fasse son office !
Bonne journée à vous :)